La sculpture de Franco Asco est une oscillation harmonieuse entre résonances classiques et rythmes abstraits. Influencée par Rodin et Maillol d’un côté, Brancusi et Arp de l’autre, le travail de cet artiste du XXème siècle exprime les contraires, écartelé entre naturalisme et anti-naturalisme. Franco Asco naît à Trieste en 1903, d’une mère polonaise et d’un père florentin qu’il ne connaît pas. De son vrai nom Atschko, il « l’italianise » pour Asco en 1929. A la fin de la première guerre mondiale, après avoir étudié aux beaux-Arts de Vienne, il s’installe à Rome où il s’inscrit à l’Académie en 1920.
Premières expositions dès 1920-1921 à Trieste, puis à Barcelone en 1929 durant l’Exposition Internationale. Il participe à la Biennale de Venise en 1930, 1932, 1935 et 1940.
En 1933, Asco s’installe à Milan et participe à de nombreuses expositions publiques.
Sa première exposition personnelle a lieu en 1937 à la Galleria Pesaro de Milan.
En 1947 il expose à Sao Paolo et en 1949 à la fameuse « Mostra Polemica » à Trieste puis à Milan.
En 1950, de nouveau à Milan. En 1955 il remporte un concours pour l’édification d’un monument à Trieste.
En 1958 il remporte le concours pour la création de la grande mosaïque du Palais des Sports de Milan.
En 1961, il expose de nouveau à la Galleria Arredarte à Trieste.
De 1959 à 1962, il participe à des expositions à la Galleria Pagani del Grattacielo, puis en 1968 à la Galleria Cavour à Milan. Il meurt à Milan le 27 mars 1970 laissant dans son sillage une oeuvre riche et inspirée.
« Quand la violence eut renouvelé le lit des hommes sur la terre,
Un très vieil arbre, à sec de feuilles, reprit le fil de ses maximes…
Et un autre arbre de haut rang montait déjà des grandes Indes souterraines,
Avec sa feuille magnétique et son chargement de fruits nouveaux. »
Saint-John Perse
Après des études à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs et à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts à Paris, Marc Bankowsky pratique d’abord la peinture. Sa rencontre avec le peintre José Fabri-Canti le conduit en Corse pour fonder Cyrne Arte, phalanstère réunissant des artistes plasticiens, comédiens et musiciens. Des ateliers de sculpture, céramique, mosaïque, dinanderie, ferronnerie, sont installés dans un village de Balagne. Il s’initie à la fresque et à la mosaïque et poursuit son parcours de peintre tout en participant à l’organisation des premiers festivals de musique de Corse.
Dans les années 70, Marc revient à Paris après un détour en Suisse, où il découvre et apprend le tissage. Naissent de son imagination d’énormes cocons suspendus, les « Nacelles », qui rencontrent un immense succès, notamment aux biennales de la tapisserie à Lausanne. Pour son ouverture, le Centre Georges Pompidou lui commande une œuvre monumentale, installée devant l’entrée. Son goût pour le modelage, la magie de certains objets, l’amènent dans les années 80 à travailler le bronze, auquel il se voue depuis, renouant avec ses racines mythologiques. Peter Marino lui demande de réaliser des tabourets et des objets d’orfèvrerie pour Christian Dior.
Les forces de la nature, à travers les règnes végétal, minéral et animal, deviennent mobilier et objets de bronze et aussi de plâtre et de résine, séduisant les décorateurs de renom ainsi qu’une clientèle privée des USA, d’Europe et d’Asie.
Marc Cavell, de son vrai nom Michael Canter, naît à Londres en 1911. Il étudie la peinture à la School of Arts and Crafts et expose pour la première fois en 1936 à la Whitechapel Art Gallery. Il s'installe à Paris à la fin des années 30 pour y compléter sa formation artistique, à l’Académie Julian et à l’Académie Ranson. Ses premiers travaux se caractérisent par une figuration aux orientations cézanniennes. Il explore ensuite les formules post-cubistes sous la direction d’Albert Gleizes. Auprès de Picasso, il s’initie aux textiles et à la céramique. Artiste curieux et éclectique, il se passionne ensuite pour les possibilités infinies de l’art optique, cinétique. Dans La peinture et ses lois, publié en 1924, Albert Gleizes écrit « Peindre c’est animer une surface plane ; animer une surface plane, c’est rythmer l’espace. ». Les interrogations sur le mouvement et sur la matière sont déjà là.
Entre 1955 et 1966, il entreprend une véritable expérience axée sur la lumière, le mouvement. L’élément moteur, la lumière, constitue la véritable matière première de l’œuvre de Cavell. Par le jeu de la réflexion de la lumière sur des surfaces métalliques ou à travers des matériaux translucides, il exploite les effets changeants de la lumière pour donner vie à des œuvres aux possibilités esthétiques et émotionnelles infinies. Grandes ou de tailles modestes, les œuvres de Cavell déploient un jeu d’ombres et de transparence, parfois colorées, qui vibrent, se croisent et s’entrecroisent à la surface du tableau, grâce au passage de la lumière. Ces « sculptures lumineuses » sont des compositions ouvertes qui incitent le spectateur à la contemplation, voire à la fascination. Aucune œuvre de Cavell n’est figée : l’œil peut voir à la fois un champ de blés ondulant sous le vent, le flux et reflux des vagues ou un indéfinissable tourbillon. Les formes s’évanouissent d’elles-mêmes pour laisser place au mouvement.Depuis bientôt 30 ans, Simone Cenedese produit lustres et objets dans la verrerie familiale de l’ile de Murano à Venise, l’une des rares à porter le sceau « vetro artistico Murano », un label de qualité. Très jeune, il a appris de son père Giovanni, fondateur de la verrerie dans les années 70, les gestes des maîtres et le secret du verre. Il appartient aujourd’hui à cette dernière génération qui combine savoirfaire ancestral, technologies de pointe et geste artistique.
Né en 1889 à Souvigny en Bourgogne de parents maîtres verriers, Jean Després entame son apprentissage en 1905 chez un orfèvre parisien. D’abord dessinateur dans l’aviation militaire durant la Première Guerre Mondiale, il reprend dans les années 1920 la boutique parentale à Avallon et y fonde son atelier d’orfèvre et bijoutier. Il apparait dès lors novateur dans la manière de travailler les métaux et dans les nouvelles formes qu’il dessine, et participe en 1926 à son premier Salon des Indépendants. De nombreuses expositions et salons s’en suivent, tels que le Salon des Artistes Décorateurs, le Salon d’Automne ou encore le Salon des Tuileries.
Il privilégie des formes massives plutôt que les ornements classiques de l’orfèvrerie, et rejette l’utilisation des pierres précieuses dans ses bijoux. Sa production de bijoux se caractérise par des bagues, bracelets, colliers, où les métaux s’allient avec l’ivoire, la laque, le cristal de roche, l’onyx, et de galuchat. Ses pièces d’orfèvrerie reprennent une esthétique s’inspirant de l’univers de l’aviation, avec des métaux travaillés au marteau, prenant des formes amples, généreuses et modernes.
A partir de 1940, Jean Després est nommé Président du Syndicat des Orfèvres, après avoir reçu la Légion d’honneur, en 1938. Il produit des pièces collectionnées aussi bien en France et à l’étranger jusqu’à sa mort en 1980.
Né à Florence en 1915, Marcello Fantoni commence son parcours artistique en 1927 à l’Institut d’Art Porta Romana. Il participe dès lors au cours d’Art Céramique dispensé par le directeur artistique de la manufacture Cantagalli, Carlo Guerrini.
Diplômé en 1934, il commence à travailler en tant que Directeur artistique d’une manufacture à Pérouse, puis s’installe à Florence et crée son propre atelier de céramique. Sa production de pièces en série et de pièces uniques connait un succès dès 1937 lors de l’exposition des Arts Décoratifs et lui vaut une renommée dans toute l’Italie et au-delà des frontières.
Après la Seconde Guerre Mondiale durant laquelle l’artiste s’était engagé dans la résistance, il reprend en 1946 son activité créative avec ferveur, développant considérablement les productions de son atelier et multipliant les collaborations. Son succès s’accroit dans les années 1960 et 1970 : ses sculptures uniques s’ancrent dans une esthétique contemporaine alliée à un travail inédit de la matière, des couleurs et de l’émail, tout en empruntant des références du passé telles que les céramiques étrusques.
Fantoni fonde en 1970 l’École Internationale d’Art Céramique à Florence où il enseigne et produit jusqu’à sa mort en 2011.
Aujourd’hui ses pièces ont intégré les collections muséales les plus importantes, dont le Metropolitan Museum (New York), le Victoria and Albert Museum (Londres), ou encore le Musée d’Art Moderne de Tokyo.
FODDIS & BAISI
Maîtres verriers, Foddis et Baisi comptent aujourd’hui parmi les artisans d’art les plus prometteurs d’Italie. Après une longue formation au sein de nombreux ateliers de verrerie italiens, les deux artistes s’installent dans la capitale lombarde et fondent Effetto Vetro. C’est avec des matériaux tels que l’Acier Supermirror ou le verre opalin des années 50 que Foddis et Baisi créent des pièces originales qui ornent les plus beaux intérieurs.
Diplômé de l'académie de Brera, cet artiste multicartes, peintre, sculpteur, graveur, styliste, designer inspiré des anciens mais aussi de Chirico, collabore dès les années 30 avec Gio Ponti, et cela jusque dans les années 60. Il en sortira un mobilier surréaliste qui confère à Piero Fornasetti une place tout à fait à part dans le design Italien du 20e siècle.
Portées par l’innovation et riches de toutes les fusions possibles des métaux précieux, les créations des Garrido évoquent à la fois la géologie et géométrie : les structures cristallines issues de la terre et les buildings contemporains érigés vers le ciel.
Juan et Paloma s’inspirent de la vie, celle qui se dessine au coeur des glaciers et des formations géologiques, comme celle qui anime les mégapoles, leurs architectures et leurs lignes radicales. Avec eux, surfaces lisses et motifs angulaires s’opposent et s’associent pour créer une étonnante asymétrie, une sensualité brute, une multiplicité de perspectives qui surprennent et captivent. Cette œuvre singulière est aujourd’hui présente dans de prestigieuses collections et plébiscitée par les plus grands noms du luxe : Puiforcat, Chanel, Peter Marino...
Fondée par Damian Garrido en 1950, la galerie GARRIDO de Madrid est connue à l’international pour son savoir-faire exceptionnel : l’orfèvrerie d’art. C’est à l’âge de 12 ans que Damian Garrido commence son apprentissage auprès des Maîtres espagnols : Luis Espunes, Viuda de Lopez et Jose Mir. Après avoir terminé sa formation de maître graveur et dessinateur à l’École des Arts et Artisanat, il devient l’un des plus jeunes orfèvres de sa corporation. À 24 ans, il crée son atelier, dont le credo demeure « transcender l’artisanat pour un design extra-ordinaire ». Passionné d’argenterie occidentale, Damian ne se contente pas d’élargir son vocabulaire visuel en imitant les Maîtres Anciens, il développe son propre style en s’inspirant du répertoire technique et stylistique acquis au cours de ses voyages - son grand tour à travers l’Europe pendant plusieurs années sera décisif pour enrichir sa connaissance des maîtres britanniques, italiens, français et allemands. Toutefois, c’est l’héritage hispanique de l’argenterie qui reste au cœur de son travail. De Saragosse à Tolède, de Barcelone à Valence il se lance dans l’étude des collections privées.
Une nouvelle étape va être franchie pour la Maison GARRIDO en 1990 avec l’arrivée de Juan et Paloma qui rejoignent leur père dans l’atelier. Ce duo de talents apporte avec lui une nouvelle direction artistique et une vision très contemporaine de l’orfèvrerie.
Ils ouvrent un nouvel atelier en 1994 à Arganda del Rey, Madrid, afin de rassembler dans un même lieu tous leurs artisans d’art - une équipe qualifiée dans diverses disciplines du métal, un immense loft dédié à leurs créations folles et luxueuses.
Approché par la Maison Saint-Laurent qui souhaite recruter le « Monsieur Bijou » de la Maison Chanel, il débute en 1974 au sein de la marque en collaboration avec Loulou de la Falaise qui lui suggère de nouvelles pistes d’inspiration. Robert se documente et imagine une ligne de bijoux africanistes tout en continuant à décliner les motifs qui lui sont chers sur ses « bijoux d’espaces » fétiches : les luminaires, les tables et les miroirs, sans oublier de plus petits objets décoratifs. Il tisse avec Yves Saint-Laurent une relation de confiance et d’amitié et crée à sa demande des éditions très limitées de petits « bijoux d’espaces » destinés à être offerts à ses proches, comme les cadres à photos réalisés en bronze doré et cristal de roche en 1980. La collaboration est très fructueuse jusqu’en 2000. Au début du XXIème siècle, Robert Goossens vend sa société à Chanel et s’accorde le temps de la retraite « active » comme il aime à le préciser. Il parraine ainsi l’atelier de création « Les Paruriers ». Robert continuait de rêver à de nouveaux projets : créer un atelier de formation pour les jeunes et les faire bénéficier d’une expérience hors du commun. Même si malicieusement il aimait ajouter « Moi, j’ai appris mon métier dans la rue.»
OEUVRESIncroyable saga que celle de Kam Tin… Des mines de turquoises ou de pyrites, des gisements d’agates ou d’ambres fossilisées rien n’est trop rare pour orner les créations de cette maison d’exception.
Crée dans les années 70 à Hong Kong, Kam Tin n’éditera que très peu de pièces avant d’arrêter sa production. Il aura fallu qu’un coffre de turquoises croise la route de Philippe Rapin pour que la magie opère à nouveau. L’antiquaire du quai Voltaire se prend de passion pour ses trésors lors d’un voyage à Hong Kong et décide de racheter la marque. Son expertise en matière d’arts décoratifs, son goût pour l’éclectisme et son style résolument contemporain vont donner naissance à de nouvelles collections. Les premières pièces exposées, cabinets en cabochon de turquoises ou d’ambre, rencontrent un vif intérêt auprès des collectionneurs.
En Octobre 2012, une enfilade en turquoise se vend chez Christie’s plus de 200 000 US dollars. Suivront de nouvelles créations, tables nuages en laiton et cuivre, petites tables d’appoint en bronze ornées de marqueterie en turquoises ou oeil de tigre, enfilades en pyrite, cabinets en ambre, chevets en turquoise ou encore lustre magistral en laiton. Autant de pièces, en édition unique ou limitée, qui sont réalisées par les artisansorfèvres de l’atelier Philippe Rapin, en Allemagne Aujourd’hui, Kam Tin s’illustre dans les foires internationales (Paris, Londres, Hong Kong, Pékin) et dans les grandes maisons de vente (Christie’s Londres et NY, Sotheby’s HK, Bonhams Londres, Arcurial et Piasa à Paris).
Originaire du Montana aux États-Unis, Ryan LaBar étudie la biologie et l’art avant de travailler pour de nombreuses institutions en tant qu’artiste résident, dont la Fondation Archie Bray, LH Projets, et l’Université d’état de Californie. Ses projets s’exportent au-delà des frontières américaines, jusqu’en Chine, Corée ou encore Pologne.
En 2014, Ryan quitte son pays natal et rejoint la province de Jingdezhen en Chine, où il construit le LabArts, son atelier personnel et centre d’innovation.
Installé dans la ville historique de la porcelaine impériale de Chine, l’artiste travaille la céramique pour créer des sculptures aux volumes abstraits où s’entremêlent les courbes.
Ryan LaBar va se réapproprier un savoir-faire ancestral afin de concevoir d’importantes installations murales et des sculptures, où mouvements et tensions rythment la forme. Ces formes, l’artiste les voit comme des systèmes complexes, chargés et équilibrés à la fois.
Pour Ryan LaBar, son processus créatif est la base même de son concept : les formes qu’il crée réunissent des éléments individuels qui, communiquant et s’entrelaçant entre eux, vont impacter la forme de ce tout qu’ils composent.
Aujourd’hui, Ryan LaBar apparait comme un artiste prolifique, dont les pièces ont intégré d’importantes collections privées et publiques, et qui continue sa production méticuleuse au cœur de l’épicentre historique de la production de céramique des deux siècles derniers.
1960 Pol Quadens est né à Bruxelles. Son père était actif dans les domaines des composites et de la métallurgie. Pol est donc entouré par le monde des matériaux depuis sa plus tendre enfance. Après ses études artistiques, il commence à restaurer des voitures de collection. Cette expérience lui permet d'acquérir de solides compétences pratiques et une connaissance approfondie de tous types de matériaux.
1987 Premières créations et production d'objets. Sa sensibilité et sa passion pour les arts le mènent à la création d'œuvres d'art fonctionnelles. Son étagère à CD s'est vendue à plus de 100 000 exemplaires et est devenue emblématique dans sa catégorie.
1995 Pol rencontre un ingénieur des ateliers Donnay qui lui fait découvrir la fibre de carbone. Il produit la pièce C 06, l'une des chaises les plus légères au monde - 950 grammes - qui connaît un grand succès commercial.
2000 Lancement des chaussures pour femmes Strada de 4 pouces de hauteur, entièrement fabriquées à la main en fibre de carbone. Ces chaussures singulières ont un détail révolutionnaire: elles sont hautes mais elles n’ont pas de talons. Madonna adore le concept et porte les chaussures lors de l'un de ses concerts.
2007 Pol Quadens enrichit ses créations en travaillant avec de nouveaux matériaux et commence à inclure du Corian®. Il conçoit toute une gamme de meubles pour les éditions OVO basées à Bruxelles.
2013 Pol Quadens est de retour à ses racines et commence à produire des pièces uniques haut de gamme et des éditions limitées en acier inoxydable.
2014 Publication de sa première monographie par l'éditeur parisien Somogy et distribuée par Flammarion.
2017 Il signe son emblématique bibliothèque «Infinity», une pièce en acier inoxydable entièrement réalisée à la main qui a nécessité plus de 400 heures de travail.
2018 En plus de ses activités de designer, Pol Quadens se tourne également vers l'art et la sculpture monumentale et commence à développer son travail en sculptures. Sa dernière création est «16 Stones», une œuvre de 4,5 m de haut inspirée du primitif «Cairn», qui consiste à marquer un site ou un espace commun en empilant des pierres. «16 Stones» est la première création de ce type et Pol développe actuellement le concept de collections privées internationales - intérieurs et parcs de sculptures -.
2019 Maison Rapin commence à travailler avec Pol à la foire Brafa de Bruxelles en janvier.
Il commence une collaboration avec un des meilleurs agents pour la sculpture à New York.
FODDIS & BAISI Structure et intérieur en laiton poli, habillage en verre ambra texturé et sculpté Pièce unique exclusive pour Maison Rapin H 170 x L 90 x P 40 cm Italie, 2023
FODDIS & BAISI Miroir concave en verre teinté noir sur une structure en laiton poli Pièce unique exclusive pour Maison Rapin D 193 cm Italie, 2023
KAM TIN Plateau en mosaïque de jade sur une structure en bronze et laiton poli Edition limitée de 25 pièces par taille, signées et numérotées Les tables peuvent être vendues séparément H 27 ou 35 x L 60 x P 48 cm France, 2020
ROBERT GOOSSENS (1927-2016) Cadre en bronze doré imitant le blé, verre bombé miroitant Signé et daté "Robert Goossens 1974" Diamètre 50 cm France, 1974
KAM TIN Pieds en bronze patiné vert antique, assise recouverte de velours de mohair vert Edition limitée à 50 exemplaires Signé et numéroté H 56 x D 39 cm France, 2023
KAM TIN Table Jade Plateau en mosaïque de jade naturelle, structure en bronze et laiton poli Pièce unique H 34.5 x D 60 cm France, 2023
MARC CAVELL (1911-1989) Sans titre Lames d'acier et de plexiglas coloré sur du bois peint Signé et daté Pièce unique H 40 x L 35.5 x P 7 cm France, 1969
MARC CAVELL (1911-1989) Sans titre Inclusions de lames d'acier sur du bois peint blanc, encadrement en plexiglas Signé Pièce unique H 91 x L 93 x P 9 cm France, circa 1970
MARC CAVELL (1911-1989) Sans titre Boîte-tableau cinétique en bois peint blanc Signé et daté "Cavell 69" Pièce unique H 30 x L 30 x P 5 cm France, 1969
MARC CAVELL (1911-1989) Sans titre Boite-tableau cinétique en bois peint blanc Signée et datée "Cavell 74" au dos Pièce unique H 30 x L 30 x P 5 cm France, 1974
MARC CAVELL (1911-1989) Sans titre Boite-tableau cinétique en bois peint blanc Signé et daté au dos "Cavell 73" Pièce unique H 30 x L 30 x P 5 cm France, 1973
MARC CAVELL (1911-1989) Sans titre Boite-tableau cinétique en bois peint blanc Signé et daté au dos "Cavell 74" Pièce unique H 30 x L 30 x P 5 cm France, 1974
MARC CAVELL (1911-1989) Sans titre Boîte-tableau cinétique en bois peint blanc Signé et daté "Cavell 69" au dos Pièce unique H 30 x L 30 x P cm France, 1969
MARC CAVELL (1911-1989) Sans titre Boite-tableau cinétique en bois peint blanc Signé et daté Pièce unique H 30 x L 30 x P 5 cm France, 1974
MARC CAVELL (1911-1989) Fakir Tableau cinétique en bois peint sculpté Pièce unique H 50 x L 50 x P 7 cm France, 1974
VENDU MARC CAVELL (1911-1989) Sans titre Panneau de bois peint à inclusions de lames en plexiglas coloré Signé et daté au dos "Cavell 71" Pièce unique H 55 x L 55 cm France, 1971
MARC CAVELL (1911-1989) Ruban Tableau cinétique réalisé avec des inclusions de lames d'acier sur un panneau en bois peint blanc Signé et daté au dos Pièce unique H 70 x L 80 x P 11 cm France, 1969
MARC CAVELL (1911-1989) Building Tableau cinétique en bois peint rouge Pièce unique Signé et daté au dos H 60 x L 60 x P 8 cm France, 1968
MARC CAVELL (1911-1989) Sans titre Inclusion de lames d'acier sur un panneau en bois peint blanc Signé et daté Pièce unique H 104 x L 94 cm France, 1973
GARRIDO Lampe "Cuspid" Pied en métal nickelé et plaqué bronze, abat-jour en soie Edition limitée de 8 + 2 EA Collection Cuspid Edition "Sustainable" Signée et numérotée H 57 x D 18 cm Espagne, 2017
GARRIDO Paire d'appliques "Folds" Structure en métal nickelé, lampes led Edition limitée de 8 + 2 EA Collection Folds Edition "Sustainable" Signée et numérotée H 70 x L 47 x P 12,5 cm Espagne, 2019